-
Hand: les Norvégiennes reines incontestées du monde
-
Champions Cup: rebond pour Castres et Toulon, débâcles pour Pau et Bayonne
-
Champions Cup: rebond pour Castres et Toulon, débâcle pour Pau et pas Bayonne
-
Allemagne: le Bayern accroché pour la première fois à domicile par la lanterne rouge Mayence
-
Ligue 1: Lens, vainqueur de Nice (2-0), passera Noël en tête
-
Dermatose: les actions se multiplient dans le Sud-Ouest, à la veille d'une visite de Genevard
-
Mondial de hand: la saveur particulière d'un bronze qui lance une nouvelle ère
-
Biathlon: les Français titillent les Norvégiens avant de craquer
-
Le Chili aux urnes, l'extrême droite favorite de la présidentielle
-
Angleterre: Arsenal sous surveillance, jour de fête à Sunderland
-
Ligue 1: Sulc délivre Lyon face au Havre
-
Hand: les Bleues repartent en bronze du Mondial
-
Sydney : scènes de désolation sur la plage de Bondi après la fusillade meurtrière visant une fête juive
-
Etats-Unis: une personne arrêtée après les tirs qui ont fait deux morts à l'université Brown
-
L'EPR de Flamanville atteint 100% de puissance nucléaire pour la première fois
-
Ski: le Norvégien Haugan remporte le slalom de Val d'Isère, journée compliquée pour les Bleus
-
Le président ukrainien à Berlin pour des pourparlers avec Américains et Européens
-
Allemagne: les start-up de la défense réclament un virage technologique
-
Dermatose: la pression monte dans le Sud-Ouest, à la veille d'une visite de Genevard
-
Super-G de Saint-Moritz: Miradoli deuxième, sur les talons de Robinson
-
Le Chili élit son président, l'extrême droite donnée favorite
-
Une attaque contre une fête juive fait 11 morts à Sydney
-
Ski: Romane Miradoli deuxième du super-G de Saint-Moritz derrière Alice Robinson
-
Le plus ancien parti prodémocratie de Hong Kong annonce sa dissolution
-
Neuf morts dans une attaque par balles sur la plage de Bondi à Sydney
-
Dermatose: Genevard lundi dans le Sud-Ouest, où des blocages routiers persistent
-
Dermatose: des routes toujours bloquées dans le Sud-Ouest, Genevard sur place lundi
-
En Chine, les petites usines aussi veulent monter dans le train de l'automatisation
-
Affrontements entre le Cambodge et la Thaïlande: 26 morts en une semaine
-
La flavescence dorée plonge les viticulteurs hongrois en plein désarroi
-
Sur TikTok, le business lucratif des faux comptes d'actualités
-
De Miami au Guatemala, l'exil d'enfants séparés de leurs familles par Trump
-
Déjà vu? Trump accusé de déni économique et de déclin physique
-
Trump face au casse-tête des coûts d'assurance santé
-
Deux personnes tuées par des tirs à l'université américaine Brown, l'auteur en fuite
-
Ligue 1: Matthieu Udol, l'acharné Lensois qui toque à la porte des Bleus
-
Ligue 1: Rulli, pas au mieux mais toujours précieux pour l'OM
-
Coupe NBA: "j'étais une boule d'énergie", commente Wembanyama
-
Cambodge et Thaïlande continuent à se battre à leur frontière
-
Coupe NBA: retour flamboyant et gagnant pour Wembanyama, en finale avec les Spurs
-
Irrespirable en hiver, Islamabad se met à contrôler les automobilistes
-
Angleterre: Liverpool et Salah en paix, Arsenal s'en sort très bien
-
Champions Cup: Toulouse sombre en deuxième période et s'incline à Glasgow
-
Ligue 1: le PSG triomphe avec peine de Metz grâce à ses "titis" et Doué
-
Espagne: le Barça creuse l'écart et met le Real sous pression
-
Inauguration à Paris d'une passerelle Jane Birkin
-
Cyclisme: sur la liste de Noël de Pogacar, un 5e Tour, Milan-Sanremo et Paris-Roubaix
-
Angleterre: Liverpool et Salah en paix, Gusto porte Chelsea
-
Bélarus: le prix Nobel de la paix Bialiatski et l'opposante Kolesnikova libérés
-
Dermatose: mobilisés sur l'A64, des agriculteurs prêts à y "passer Noël s'il le faut"
Le Conseil de l'Europe sur le point de sanctionner la Russie
Le Conseil de l'Europe a annoncé jeudi soir qu'il "envisageait" de prendre dès vendredi des sanctions contre la Russie, après "l'agression armée" de l'Ukraine, comme il l'avait fait en 2014 après l'annexion de la Crimée.
Ces sanctions pourraient être annoncées à l'issue d'une nouvelle "réunion extraordinaire" des représentants permanents des 47 Etats membres -- dont la Russie et l'Ukraine -- de l'organisation paneuropéenne, qui ont déjà débattu à huis clos pendant de longues heures jeudi à Strasbourg.
Ceux-ci pourraient invoquer l'article 8 des statuts du Conseil, qui permet de suspendre l'ensemble des droits de "représentation" d'un Etat membre lorsqu'il "enfreint gravement" le droit, voire, dans une étape ultérieure, de l'exclure purement et simplement de l'institution.
Selon le site du quotidien Daily Mail, le député conservateur John Howell, chef de la délégation britannique à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE), s'est d'ores et déjà prononcé aux Communes (chambre basse du Parlement britannique) en faveur d'une "suspension de la Russie".
"Je soutiens sans réserve ce qu'il vient de dire", a enchaîné le Premier ministre Boris Johnson, toujours selon ce site.
En attendant, les membres du Conseil ont "condamné" dès jeudi soir "avec la plus grande fermeté" l'agression russe, "violation" du droit international, invitant "instamment" Moscou à "cesser immédiatement et sans condition ses opérations militaires en Ukraine".
Le Conseil de l'Europe replonge ainsi dans la tourmente qui l'avait fait vaciller en 2014 après l'annexion de la Crimée, mais au coeur cette fois d'une crise à l'intensité décuplée.
A l'époque, la délégation russe au sein de l'APCE s'était vue privée de son droit de vote. Une mesure essentiellement symbolique à laquelle la Russie avait répliqué par le boycott des sessions de cette assemblée et la suspension du versement de son écot au budget du Conseil, qui menaçait déjà la pérennité de l'institution.
Après cinq années de vives tensions, le différend avait été réglé et la délégation russe avait réintégré comme un seul homme l'APCE, au grand dam des parlementaires ukrainiens.
- "Conséquences dévastatrices" -
Le chef de l'Etat français Emmanuel Macron, parmi d'autres, avait oeuvré à ce règlement, alors que la France assurait la présidence semestrielle tournante du Conseil, multipliant les gestes d'apaisement envers son homologue russe Vladimir Poutine, reçu chaleureusement au Fort de Brégançon, la résidence d'été des présidents français.
Cette fois, l'enjeu est double. Créé en 1949 et resté dans l'ombre de l'Union européenne, le Conseil de l'Europe n'en demeure pas moins l'un des rares forums diplomatiques du continent où Russes et Ukrainiens peuvent s'affronter autour du tapis vert. Ce forum est donc menacé.
Mais cette crise représente surtout une menace pour les citoyens russes pour lesquels la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH), bras judiciaire du Conseil de l'Europe, est le dernier recours face à l'arbitraire de leurs juridictions nationales.
Si la Russie devait quitter le Conseil, ils seraient privés de ce recours.
Quoi qu'il en soit et sans attendre la décision du Comité des ministres, Marija Pejcinovic Buric, secrétaire générale du Conseil, a condamné elle aussi "fermement" jeudi l'invasion de l'Ukraine qui pourrait avoir des "conséquences dévastatrices pour l'ensemble du continent".
Dans la même veine, Tiny Kox, le président néerlandais de l'APCE s'est dit "profondément consterné par l'attaque militaire de la Fédération de Russie contre l'Ukraine".
Quant à la commissaire aux Droits de l'Homme de l’institution, Dunja Mijatović, elle a appelé ses Etats membres "à accueillir à bras ouverts les personnes qui fuient l'Ukraine".
A.Gasser--BTB