
-
Septième échange prévu d'otages et de détenus palestiniens, malgré la confusion sur le sort d'une otage
-
Argentine: "marée rouge" d'algues sur les plages atlantiques
-
A Ryad, un sommet arabe pour se concerter face au projet de Trump pour Gaza
-
Netanyahu jure de punir le Hamas qui reconnaît une "possible erreur" dans la remise du corps d'une otage
-
Trump repart à la charge contre Zelensky et l'appelle à parler à Poutine
-
Ligue des nations: les Bleues lancent leur année par une courte victoire contre la Norvège
-
NBA: Optimisme pour Wembanyama aux Etats-Unis
-
Trump repart à la charge contre Zelensky, qui veut un accord "équitable"
-
Un Espagnol blessé au Mémorial de l'Holocauste à Berlin, le suspect arrêté
-
Cuba lance un vaste projet d'énergie solaire pour sortir de la crise énergétique
-
Un Espagnol blessé au Mémorial de l'Holocauste à Berlin, arrestation d'un suspect
-
Wall Street chute, craintes sur l'état de l'économie américaine
-
Est de la RDC: le Conseil de sécurité de l'ONU condamne le Rwanda et le M23 qui continue d'avancer
-
L'assaillant de Salman Rushdie reconnu coupable de tentative de meurtre aux Etats-Unis
-
Foot: Oliver Kahn en opération séduction à Bordeaux, Gerard Lopez "pas vendeur"
-
Airbags défectueux: plus de 2,3 millions de véhicules encore concernés, immobilisation chez Volkswagen
-
Les airbags Takata de plus de 2,3 millions de véhicules encore à remplacer en métropole
-
Un homme attaqué et grièvement blessé au Mémorial de l'Holocauste à Berlin
-
Tronçonneuse, hockey et potentiel salut nazi: une nouvelle semaine de l'ère Trump
-
Bétharram: un ex-surveillant écroué pour viol, prescription pour deux autres hommes
-
L1: Longoria, De Zerbi, Benatia, Ravanelli, quatuor gagnant à l'OM
-
Trump repart à la charge contre le président ukrainien
-
Est de la RDC: le M23 continue d'avancer, l'ONU se prononce sur une condamnation du Rwanda
-
La Bourse de Paris finit dans le vert avant les élections allemandes
-
Les juifs de Syrie souhaitent raviver leur héritage
-
Le pape n'est "pas hors de danger" et restera hospitalisé au moins dix jours
-
EDF engrange un bénéfice record pour 2024, avant d'entamer une année cruciale
-
Ski: Nils Alphand hospitalisé après une chute à l'entraînement
-
Bétharram: un seul homme poursuivi pour viol, prescription pour les deux autres
-
Wall Street en net recul, poursuit la dynamique entamée la veille
-
Netanyahu accuse le Hamas d'avoir tué les deux enfants Bibas, jure de le punir
-
Bétharram: information judiciaire pour viol pour un seul homme, prescription pour les deux autres
-
Madonna attaque Trump, qui s'est attribué le titre de "roi"
-
Ski: Brignone encore géante à Sestrières, Shiffrin très prudente
-
Un budget limité avance au Sénat américain, sans le soutien de Trump
-
Le nouveau chef du FBI Kash Patel, soutien inconditionnel de Donald Trump
-
Netanyahu accuse le Hamas d'avoir tué les deux enfants Bibas, promet de le punir
-
Des randonneurs mal équipés à l'assaut de l'Etna pour faire des selfies
-
UAE Tour: Merlier s'impose, Pogacar s'amuse
-
Ligue des champions: le PSG se frotte à Liverpool, Lille à Dortmund en huitièmes
-
Ski: Nils Alphand héliporté après une chute à l'entraînement
-
Ukraine: Pretoria veut un processus incluant "toutes les parties" et invite Zelensky
-
Hospitalisé depuis une semaine, le pape a passé une bonne nuit et "s'est levé"
-
Affaire du baiser forcé: Jenni Hermoso fera également appel du jugement
-
RDC: 42.000 personnes ont fui au Burundi en 2 semaines selon l'ONU
-
Bétharram: les gardes à vue touchent à leur fin, Bayrou dénonce une "mécanique du scandale"
-
Tech, auto, médicaments: qui payerait les droits de douanes de Donald Trump?
-
L'hospitalisation du pape relance les spéculations sur une démission
-
Un monde qui "marche sur la tête": récit d'une grande colère agricole
-
Oupette, beauté limousine, prend ses quartiers au Salon de l'agriculture

Au Pérou, nouvelle fuite limitée de brut depuis la raffinerie de Repsol
Une nouvelle fuite de brut "relativement petite" s'est produite au large des côtes péruviennes pendant des travaux sur un oléoduc sous-marin de la raffinerie du groupe pétrolier espagnol Repsol destinés à déterminer les causes de la marée noire survenue le 15 janvier depuis la même installation.
"La (nouvelle) fuite se serait produite le 25 janvier au cours de travaux préalables au retrait des PLEM (Pipeline End Manifolds), qui sont des équipements sous-marins de collecte et de distribution" de pétrole, a expliqué mercredi l'Agence d'évaluation et de surveillance de l'environnement (OEFA), qui dépend du ministère péruvien de l'Environnement.
"Nous avons pu constater la fuite, qui est relativement petite", a déclaré sur la radio locale RPP le capitaine de navire Jesus Menacho, chef des opérations des garde-côtes péruviens. "C'est sous contrôle. Des vérifications sont en cours pour que cette nouvelle fuite ne touche pas les côtes", a-t-il ajouté.
Parallèlement, l'Osinergmin, l'organisme public qui supervise les investissements en matière d'énergie, a fait savoir que pendant "l'opération visant à retirer le pétrole restant" de l'oléoduc mardi, "un volume de pétrole brut estimé à 8 barils (près de 1.300 litres) a été déversé, avant d'être contrôlé".
Plus tôt mercredi, la Marine péruvienne avait fait savoir qu'au cours d'un vol d'inspection effectué mardi pour surveiller la zone touchée par la première marée noire, l'équipage avait observé une "nappe huileuse" à proximité de l'oléoduc.
Consultés par la marine, les responsables de la raffinerie avaient admis qu'avant "l'inspection et la réparation" de l'oléoduc, du pétrole "s'était infiltré" en mer, selon le communiqué de la Marine.
Cet incident est survenu dix jours après une première marée noire au large des côtes du centre du Pérou, depuis la même raffinerie de La Pampilla, située à Ventanilla, à 30 km au nord de Lima, et propriété de Repsol.
Mardi soir, avant l'annonce des autorités, Repsol Pérou avait nié toute nouvelle marée noire. "Nous écartons un deuxième déversement d'hydrocarbures. Nous mettons en garde la population contre la circulation de fausses informations", avait déclaré l'entreprise sur son site internet.
- "Inacceptable" -
"Nous allons déposer plainte devant le parquet de Ventanilla pour cette nouvelle marée noire. C'est inacceptable qu'ils continuent à polluer tous les jours la mer et l'environnement", a réagi auprès de l'AFP José Llacuachaqui, un représentant des pêcheurs artisanaux de la zone.
Le 15 janvier, 6.000 barils de brut se sont répandus en mer pendant le déchargement d'un tanker rendu difficile par la forte houle présente ce jour-là.
Cette marée noire a souillé les côtes à plus de 40 kilomètres de la raffinerie. Elle a entraîné la mort de milliers de poissons et d'oiseaux marins et mis des centaines de pêcheurs artisanaux au chômage. En plein milieu de l'été austral, le secteur touristique de cette zone est également touché de plein fouet.
Selon le gouvernement, plus de 180 hectares de littoral ont été souillés, ainsi que 713 hectares d'espaces maritimes.
Les dirigeants de Repsol au Pérou en rejettent la responsabilité sur la forte houle présente ce jour-là après la puissante éruption volcanique aux îles Tonga qui a provoqué un tsunami dans le Pacifique.
Le procureur détaché auprès du ministère de l'Environnement, Julio Cesar Guzman, a annoncé mercredi que quatre responsables de Repsol qui "étaient chargés d'évaluer les risques de la gestion", faisaient l'objet d'une enquête et seraient convoqués au parquet.
"Les dommages sont incontestables", a dit M. Guzman à la radio RPP, précisant qu'une acte de "pollution" selon la loi péruvienne, était "passible d'une peine de 4 à 5 ans" de prison.
"Mais dans les cas aggravés, elle peut aller jusqu'à 6 ou 7 ans", a-t-il souligné, rappelant que les responsables de la raffineries avaient fourni "de fausses informations aux autorités compétentes" au sujet de la marée noire du 15 janvier.
Selon le parquet, Repsol avait d’abord fait état d'un déversement de "six galons" (environ 27 litres) de brut. Il a été prouvé par la suite que 6.000 barils, soit près d'un million de litres, avaient fini dans la mer.
O.Lorenz--BTB