- L1: la place de Monaco sur le podium fragilisée à Nantes
- La méthode Bayrou: des poids lourds en première ligne, un Premier ministre en surplomb
- Propos haineux: cinq influenceurs algériens et une franco-algérienne visés par des procédures
- Trois cas de fièvre aphteuse en Allemagne, les premiers dans l'UE depuis 2011
- La Cour suprême américaine paraît prête à laisser entrer en vigueur la loi menaçant TikTok d'interdiction
- Retraites, budget... négociations intenses, Lombard pense qu'on peut "avancer"
- Israël frappe les Houthis au Yémen et promet de "traquer" leurs dirigeants
- Au salon CES, la tech annonce l'arrivée des robots dans notre quotidien
- Gabriel Attal appelle à "dénoncer l'accord franco-algérien de 1968"
- Retraites: la position du gouvernement encore "nébuleuse", selon la CGT après un rendez-vous avec Lombard
- La Bourse de Paris en baisse après un emploi américain robuste
- UE: von der Leyen hospitalisée une semaine, de retour chez elle
- En pleines négociations avec les supermarchés en France, Mondelez critiqué pour ses hausses de prix
- Retraites, budget... négociations intenses, le PS pose ses exigences
- Suède: le nombre de demandes d'asile octroyées en 2024 au plus bas depuis 40 ans
- Venezuela: Maduro plaisante sur la présence de son rival à l'investiture
- Ursula von der Leyen pas invitée pour l'investiture de Donald Trump
- Les incendies de Los Angeles en chiffres
- Soudan: MSF appelle à "inonder le Darfour de nourriture"
- La cheffe de l'opposition bélarusse attend le moment "opportun"
- "La chute de P. Diddy", série documentaire en vue
- Fonction publique: les syndicats optimistes après leur rencontre avec le nouveau ministre
- La Renault 5 électrique a été désignée voiture européenne de l'année
- Le rapprochement de Meloni avec Musk inquiète le fabricant d'Ariane 6
- Liban: Meloni offre son soutien à Aoun, Tajani à Beyrouth
- Aux États-Unis, l'emploi en hausse, la Fed peut se concentrer sur l'inflation
- Une vingtaine de dessins de nus signés Yves Saint Laurent mis aux enchères
- L'armée israélienne dit avoir frappé des cibles des Houthis au Yémen
- Mort du journaliste gastronomique Jean-Luc Petitrenaud
- Venezuela : Nicolas Maduro, un homme du peuple à la poigne de fer
- Venezuela: le président Maduro investi pour un 3ème mandat, "un coup d'Etat" selon l'opposition
- Biathlon: triplé français dans le sprint d'Oberhof dominé par Fillon Maillet
- Venezuela: le président Maduro, investi pour un 3ème mandat malgré la contestation de l'opposition
- Wall Street ouvre en nette baisse, prise de court par l'emploi américain
- Grande pompe et militaires pour la troisième investiture de Maduro
- La désinformation prorusse entre en scène sur le réseau social Bluesky
- Champions Cup: Lewis Ludlam, le guerrier anglais de la Rade
- Neige-verglas: fin de la vigilance orange dans les Hauts-de-France, crues dans le nord-ouest
- Après dix ans de séparation, une Yazidie enlevée par l'EI retrouve sa soeur en Irak
- Le Venezuela boucle sa frontière avec la Colombie avant l'investiture de Maduro
- Russie: verdict la semaine prochaine pour les avocats de Navalny, accusés d'"extrémisme"
- La Bourse de Paris atone avant l'emploi américain
- Corée du Sud: le chef de la sécurité présidentielle démissionne
- Flambée de la grippe: ne pas délaisser les gestes barrières...et se faire vacciner
- Open d'Australie: dans son fief, "Djoko" repart à la chasse de Sinner et des Majeurs
- Au salon CES, la bataille des lunettes connectées fait rage
- Radio: moins de pub pour plus d'auditeurs, le pari de RTL
- Open d'Australie: dans son fief de Melbourne, "Djoko" repart à la chasse de Sinner et des Majeurs
- Open d'Australie: avec Murray, "on joue cartes sur table", confie Djokovic
- Champions Cup: Toulouse à l'épreuve des Sharks, La Rochelle retrouve le Leinster
Le président Joe Biden donne une interview à haut risque
S'il la réussit, il ne sera pas sauvé, mais s'il la rate, sa candidature à un second mandat ne tiendra vraiment plus qu'à un fil: Joe Biden donne vendredi une interview à très haut risque.
En une semaine, le démocrate de 81 ans n'a absolument pas réussi à effacer l'impression désastreuse causée par son débat raté face à Donald Trump le 27 juin.
Depuis ce duel télévisé, les Américains ne l'ont pas vu s'exprimer librement, sans prompteur, et sur une plage de temps étendue.
Il en aura donc l'occasion vendredi, dans un entretien avec un journaliste et présentateur vedette d'ABC, , qui sera enregistré à l'occasion d'un déplacement de campagne dans le Wisconsin.
Pour l'instant, le président américain reste droit dans ses bottes, malgré l'intense pression.
"Je n'ai pas l'intention de m'en aller", a-t-il assuré jeudi lors de la fête de l'Indépendance.
Et son équipe de campagne redouble d'ardeur. Elle a publié vendredi un intense plan de bataille pour le mois de juillet prévoyant un blitz de spots télévisés, des déplacements dans tous les Etats clés, et notamment dans le sud-ouest du pays pendant la convention républicaine (15-18 juillet), ainsi que des campagnes de sensibilisation auprès des électeurs.
Traduction: rien qui ne puisse laisser transparaître qu'il envisagerait de jeter l'éponge.
Joe Biden doit aussi être l'hôte la semaine prochaine d'un sommet des dirigeants de l'Otan.
- Emission spéciale -
Preuve que l'interview est très attendue, la chaîne de télévision a bouleversé son programme de diffusion.
ABC prévoyait au départ de montrer des extraits vendredi, puis samedi, pour une diffusion complète dimanche.
Mais c'est finalement dès vendredi soir, à 20h00 locale (minuit GMT) que les téléspectateurs pourront voir l'entretien dans son intégralité, dans le cadre d'une émission spéciale.
Joe Biden fera face à un journaliste qui connaît comme personne les rouages de la communication politique.
George Stephanopoulos a en effet travaillé pour l'ancien président démocrate Bill Clinton, à la fois pendant sa première campagne puis à la Maison Blanche, où il a été l'un de ses plus proches conseillers pendant son premier mandat.
- Ancien bègue -
Face à Donald Trump la semaine dernière, le président américain a pendant 90 minutes peiné à s'exprimer, butant sur les mots, et perdant le fil de sa pensée, ce qui a déclenché un vent de panique au sein de son parti.
Autant que sur le fond, Joe Biden, un ancien bègue qui n'a jamais été un orateur très fluide, devra convaincre sur ABC par son élocution, par sa syntaxe et par les expressions de son visage.
En début de semaine, l'une des plus influentes voix démocrates, l'ancienne présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi avait jugé "essentiel" que Joe Biden fasse une et même deux interviews de haut vol.
D'autres partisans de Joe Biden ont réclamé une longue conférence de presse pour juger de sa capacité à répondre avec vivacité.
Le président américain, qui se prête rarement à l'exercice, ou alors pour un nombre limité de questions avec des journalistes choisis à l'avance, a promis d'en donner une la semaine prochaine, mais les modalités n'en sont pour l'heure pas connues.
K.Brown--BTB