- Meloni reçue par Trump en Floride
- Régularisation des travailleurs sans-papiers: les métiers en tension actualisés "fin février"
- United Cup: les Etats-Unis s'offrent un deuxième trophée
- Tennis: Aryna Sabalenka bat Polina Kudermetova en finale à Brisbane
- Pour la Croix-Rouge, retrouver les disparus en Syrie sera un "énorme défi"
- Tennis: à 27 ans, le Français Alexandre Müller décroche son premier titre à Hong Kong
- Inde : découverte du corps d'un journaliste enfoui dans une fosse septique
- Radio: adieu France Bleu, bonjour Ici
- L'entreprise spatiale de Jeff Bezos s'apprête à mener le premier vol de son lanceur lourd
- La Fnac des Champs-Elysées ferme définitivement, une semaine plus tôt qu'annoncé
- Giorgia Meloni rend visite à Donald Trump dans sa résidence de Floride
- Les principales nominations aux Golden Globes
- New York met en place son péage urbain malgré l'opposition de Trump
- Décès d'Howard Buten, alias le clown Buffo
- Grèce : mort de l'ancien Premier ministre Costas Simitis, le "modernisateur"
- Sur le Dakar, la logistique effrénée d'une mini-ville itinérante dans le désert saoudien
- NBA: les Spurs battus par Denver, Leonard fait son retour avec les Clippers
- Fin de la vigilance orange neige-verglas dans tous les départements concernés
- L'opposant vénézuélien Gonzalez Urrutia attendu aux Etats-Unis pour rencontrer Biden
- Manifestations sous la neige en Corée du Sud à la veille de la date butoir pour arrêter Yoon
- "MAGA" vs. "Tech Bros": Trump face à un conflit ouvert dans son camp
- Aux Golden Globes, l'heure de vérité pour "Emilia Perez"
- Autriche: démission du chancelier Nehammer "dans les prochains jours" après l'échec des négociations de coalition
- Top 14: Succès in extremis mais frustrant pour La Rochelle devant un Toulouse bis
- Top 14: l'UBB reprend la tête, Toulon assomme le Racing 92
- Ligue 1: Lille rate le coche, Lyon sauvé de justesse
- Gaza: les négociations indirectes entre le Hamas et Israël ont repris à Doha
- Ligue 1: Lille débute l'année par un match nul décevant contre Nantes (1-1)
- Angleterre: Manchester City enchaîne, pas Arsenal
- Ligue 1: première réussie pour Horneland avec Saint-Étienne
- Soros, Bono, Hillary Clinton: dernière salve de décorations pour Biden
- Claude Allègre, adepte du verbe haut et homme de controverses
- Mort de Claude Allègre, ancien ministre de l'Education nationale de Jospin
- Une dessinatrice du Washington Post démissionne après un dessin critiquant Bezos
- L'opposant vénézuélien Gonzalez Urrutia a rencontré Javier Milei à Buenos Aires
- Foot: Luis Enrique se dit "très tranquille" pour la fin de saison du PSG
- Gaza: plus de 30 morts selon les secours à la reprise des négociations sur une trêve
- Afrique du Sud: carnaval bigarré et chatoyant au Cap
- Top 14: Toulon débute l'année par une victoire bonifiée face au Racing 92
- Dakar-2025/1ère étape: Quintero finalement vainqueur en auto, Sanders en moto
- Ukraine: la Russie dit avoir intercepté des missiles américains ATACMS et promet "des représailles"
- Espagne: la demande de réinscription de Dani Olmo au Barça rejetée
- Un scientifique chinois inspiré par la pop pour baptiser des araignées
Le déficit public pour 2025 sera "le fruit des discussions" politiques, selon le gouvernement
Le gouvernement a indiqué vendredi que l'objectif de déficit public de la France pour 2025 serait "le fruit des discussions" avec les forces politiques du Parlement, avant le discours de politique générale du Premier ministre François Bayrou le 14 janvier.
"Le déficit sera le résultat des concertations et du chemin qui sera trouvé lors des concertations à Bercy et également pour le PLFSS (projet de loi de financement de la Sécurité sociale, NDLR). Donc, on va se fixer d'abord ce dialogue", a déclaré la porte-parole du gouvernement Sophie Primas dans son compte-rendu à la presse du premier Conseil des ministres du gouvernement Bayrou.
Elle n'a pas confirmé une information du journal Le Monde, selon laquelle le gouvernement vise un déficit public de 5,4% du PIB cette année, davantage que les 5% ambitionnés par le gouvernement précédent, après un dérapage attendu à 6,1% en 2024.
Il pourra "être entre 5,4 ou 5,1, 4,9, 4,8 (en pourcentag du PIB, NDLR), on verra le résultat de ces négociations et on verra où est le chemin et ce qui est supportable pour le déficit", a-t-elle souligné.
En vue de les associer à la préparation du budget 2025, dont la France est pour l'instant dépourvue en raison de la censure du gouvernement de Michel Barnier le 4 décembre, les ministres de l'Economie, Eric Lombard, et des Comptes publics, Amélie de Montchalin, ont prévu de consulter l'ensemble des forces politiques représentées au Parlement.
Ces rencontres, prévues jusqu'au jour de la déclaration de politique générale, feront l'objet de conclusions qui se traduiront "en propositions du gouvernement amendant le budget 2025".
Sur le déroulé de l'examen du projet de budget, la porte-parole du gouvernement a indiqué qu'elle n'avait "pas encore de calendrier exact à (...) donner", mais que "les principales orientations seront probablement dans la déclaration de politique générale".
En décembre, François Bayrou avait dit espérer une adoption du budget "à la mi-février", sans toutefois être "sûr d'y arriver". Il avait précisé qu'il repartirait de "la copie qui a été votée" au Parlement avant la censure.
Dans une interview à la Tribune Dimanche, le ministre de l'Economie, Eric Lombard, avait précisé que le déficit serait inscrit dans le texte budgétaire à "un peu au-dessus de 5%" du PIB "de façon à protéger la croissance".
Bercy n'a par ailleurs pas confirmé non plus que la prévision de croissance serait abaissée de 1,1% à 0,8% pour 2025, comme l'affirme le journal l'Opinion.
En l'absence de budget, des mesures fiscales qui avaient été proposées par le précédent gouvernement ne pourront pas être reconduites en tant que tel, a souligné Le Monde sur internet, notamment la surtaxe sur les bénéfices des grandes entreprises, censée rapporter 8 milliards d'euros en 2025.
Concernant la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus, qui devait générer 2 milliards, "elle ne peut pas être conservée en l'état", a déclaré Eric Lombard au Monde. "Peut-être pourrons-nous trouver une autre mesure de solidarité qui aboutirait à peu près au même effet."
Depuis le 1er janvier, une "loi spéciale" autorise les ministères à engager des dépenses dans la limite des crédits ouverts en 2024, dont seul un quart a été débloqué.
O.Bulka--BTB