- Mexique : La présidente Claudia Sheinbaum officialise le lancement d'un programme de désarmement
- Hand: les Bleus bouclent leur préparation par un sans-faute
- Wall Street termine en net retrait, la baisse des taux s'éloigne
- Champions Cup: le Racing 92 s'incline nettement contre Glasgow
- Le revirement de Meta sur le fact-checking continue de provoquer l'inquiétude
- Les incendies record de Los Angeles devraient gonfler les primes d'assurance
- Allemagne: Leverkusen fait tomber Dortmund à domicile et envoie un message
- Neige-verglas: fin de la vigilance orange dans les Hauts-de-France mais le froid perdure
- Meta (Facebook, Instagram) met fin à ses programmes pour la diversité
- Huile de palme: l'UE obtient en partie gain de cause à l'OMC face à l'Indonésie
- Plus de 100 migrants, dont 7 enfants, secourus au large de la Libye par SOS Méditerranée
- Une "flotte fantôme", l'arme russe pour contourner les sanctions
- La fin surréaliste du procès historique de Donald Trump
- L1: la place de Monaco sur le podium fragilisée à Nantes
- La méthode Bayrou: des poids lourds en première ligne, un Premier ministre en surplomb
- Propos haineux: cinq influenceurs algériens et une franco-algérienne visés par des procédures
- Trois cas de fièvre aphteuse en Allemagne, les premiers dans l'UE depuis 2011
- La Cour suprême américaine paraît prête à laisser entrer en vigueur la loi menaçant TikTok d'interdiction
- Retraites, budget... négociations intenses, Lombard pense qu'on peut "avancer"
- Israël frappe les Houthis au Yémen et promet de "traquer" leurs dirigeants
- Au salon CES, la tech annonce l'arrivée des robots dans notre quotidien
- Gabriel Attal appelle à "dénoncer l'accord franco-algérien de 1968"
- Retraites: la position du gouvernement encore "nébuleuse", selon la CGT après un rendez-vous avec Lombard
- La Bourse de Paris en baisse après un emploi américain robuste
- UE: von der Leyen hospitalisée une semaine, de retour chez elle
- En pleines négociations avec les supermarchés en France, Mondelez critiqué pour ses hausses de prix
- Retraites, budget... négociations intenses, le PS pose ses exigences
- Suède: le nombre de demandes d'asile octroyées en 2024 au plus bas depuis 40 ans
- Venezuela: Maduro plaisante sur la présence de son rival à l'investiture
- Ursula von der Leyen pas invitée pour l'investiture de Donald Trump
- Les incendies de Los Angeles en chiffres
- Soudan: MSF appelle à "inonder le Darfour de nourriture"
- La cheffe de l'opposition bélarusse attend le moment "opportun"
- "La chute de P. Diddy", série documentaire en vue
- Fonction publique: les syndicats optimistes après leur rencontre avec le nouveau ministre
- La Renault 5 électrique a été désignée voiture européenne de l'année
- Le rapprochement de Meloni avec Musk inquiète le fabricant d'Ariane 6
- Liban: Meloni offre son soutien à Aoun, Tajani à Beyrouth
- Aux États-Unis, l'emploi en hausse, la Fed peut se concentrer sur l'inflation
- Une vingtaine de dessins de nus signés Yves Saint Laurent mis aux enchères
- L'armée israélienne dit avoir frappé des cibles des Houthis au Yémen
- Mort du journaliste gastronomique Jean-Luc Petitrenaud
- Venezuela : Nicolas Maduro, un homme du peuple à la poigne de fer
- Venezuela: le président Maduro investi pour un 3ème mandat, "un coup d'Etat" selon l'opposition
- Biathlon: triplé français dans le sprint d'Oberhof dominé par Fillon Maillet
- Venezuela: le président Maduro, investi pour un 3ème mandat malgré la contestation de l'opposition
- Wall Street ouvre en nette baisse, prise de court par l'emploi américain
- Grande pompe et militaires pour la troisième investiture de Maduro
- La désinformation prorusse entre en scène sur le réseau social Bluesky
- Champions Cup: Lewis Ludlam, le guerrier anglais de la Rade
Meta (Facebook, Instagram) met fin à ses programmes pour la diversité
Meta continue son virage politique: le géant des réseaux sociaux a décidé de mettre fin à des programmes majeurs conçus pour favoriser la diversité en termes de recrutement, une mesure supplémentaire qui aligne le groupe californien avec Donald Trump.
Ces programmes, qui concernent aussi l'embauche, la formation et la sélection des fournisseurs, vont disparaître immédiatement, d'après une note interne rapportée par Axios vendredi et confirmée par Meta à l'AFP.
Dans cette note, la maison mère de Facebook, Instagram et WhatsApp explique qu'elle change de cap parce que "le paysage juridique et politique autour des efforts de diversité, d'équité et d'inclusion aux États-Unis est en train de changer".
"Nous sommes au service de tous", indique la note, précisant que la société continuera à chercher des candidats d'origines diverses tout en supprimant les objectifs de représentation spécifiques pour les femmes et les minorités ethniques qui étaient en place.
Ces derniers mois, d'autres grandes entreprises américaines telles que McDonald's, Ford et les supermarchés Walmart ont annoncé revenir sur certaines de leurs pratiques en matière de diversité, après un arrêt de la Cour suprême en 2023 mettant fin aux mesures de discrimination positive dans les admissions universitaires, un des acquis de la lutte pour les droits civiques des années 1960.
"La Cour suprême des États-Unis a récemment rendu des décisions signalant un changement dans la manière dont les tribunaux aborderont la question de la DEI" (l'acronyme pour "diversité, égalité et inclusion", ndlr), souligne Janelle Gale, vice-présidente des ressources humaines de Meta, dans sa note interne.
"Le terme 'DEI' est également devenu controversé, en partie parce qu'il est perçu par certains comme une pratique qui suggère un traitement préférentiel de certains groupes par rapport à d'autres", continue-t-elle.
Le virage des entreprises s'inscrit dans un contexte d'offensive "anti-woke" menée par les républicains.
En Californie, Elon Musk et sa plateforme X (anciennement Twitter) ont libéré les voix conservatrices qui avaient traditionnellement peu de portée dans l'Etat démocrate et progressiste.
Mark Zuckerberg, le patron de Meta, comme plusieurs de ses voisins et concurrents, multiplie les avances à l'égard de Donald Trump depuis cet été, et surtout depuis son élection.
Il a dîné avec lui en novembre, fait un don d'un million de dollars pour sa cérémonie d'inauguration le 20 janvier et nommé plusieurs de ses alliés à des postes clefs.
Cette semaine, il a mis fin au fact-checking aux Etats-Unis, un programme de vérification des faits par des organisations indépendantes dans le monde, né en réponse au flot de désinformation sur ses plateformes, qui inquiétait les autorités démocratiques.
Ce revirement sur le fact-checking a provoqué une vague d'inquiétude dans de nombreux pays, de l'Europe à l'Australie, en passant par le Brésil, jusqu'à l'ONU et le Conseil de l'Europe.
Si Meta généralisait au monde entier sa décision, cela aurait des conséquences dramatiques, a par ailleurs averti l'International Fact-Checking Network (IFCN) qui regroupe plus de 130 organisations, dont l'AFP.
L'AFP participe dans plus de 26 langues à un programme de fact-checking développé par Facebook, qui rémunère plus de 80 médias à travers le monde pour utiliser leurs "fact-checks" sur sa plateforme, sur WhatsApp et sur Instagram.
I.Meyer--BTB