- Ligue 1: Ousmane Dembélé, l'apaisement après les tensions
- En Chine, le réchauffement fait fondre les revenus des tailleurs de glace
- Assassinat d'un général russe: la Russie annonce l'arrestation d'un suspect ouzbek
- Automobile: Honda envisage une fusion avec son rival en difficulté Nissan pour peser dans l'électrique
- Bangladesh: avec la déforestation, les chacals attaquent
- Au Ghana, les futurs champions de boxe se forment dans les ruelles de Jamestown
- Une start-up japonaise subit un nouvel échec au lancement de sa fusée
- L'artiste hongrois des Lego qui voit les choses en grand
- Paradis des casinos, Macao peine à diversifier son économie
- 2024, année la plus chaude, est aussi celle d'une demande record de charbon
- Coupe NBA: Milwaukee sacré aux dépens d'Oklahoma City
- Zelensky et les dirigeants européens à Bruxelles avant le retour de Trump
- Vendée Globe: Simon talonné par Dalin et Richomme
- Mayotte a passé une première nuit sous couvre-feu, Macron attendu sur place jeudi
- Sa condamnation à mort en Indonésie annulée, une Philippine est rentrée dans son pays
- "Un procès pour l'histoire": l'affaire Pelicot vue par les journalistes de l'AFP
- Automobile: Honda envisage une fusion avec son rival en difficulté Nissan, l'électrique dans le viseur
- Sa condamnation à mort en Indonésie annulée, une Philippine est rentrée chez elle
- Vanuatu: les recherches de survivants continuent après le puissant séisme, au moins 14 morts confirmés
- Génocide des Tutsi: la réclusion à perpétuité confirmée en appel pour Philippe Manier
- La justice saisit treize distributeurs automatiques illégaux de cryptomonnaies
- Insultes envers le député Louis Boyard en 2022: Cyril Hanouna jugé en son absence à Paris
- Pharrell Williams nommé ambassadeur de bonne volonté de l'Unesco
- Macron attendu jeudi sur l'archipel dévasté de Mayotte
- Hydroxychloroquine contre le Covid: une étude fondatrice de l'ère Raoult rétractée
- Sa condamnation à mort en Indonésie annulée, une Philippine rentre chez elle
- Vendée Globe: Sébastien Simon nouveau leader, le chassé-croisé continue
- Foot: Vinicius sacré meilleur joueur Fifa de l'année, doublé pour Bonmati
- L'ONU prévient que le conflit n'est pas "terminé" en Syrie, les nouvelles autorités cherchent à rassurer
- Macron bientôt attendu sur l'archipel dévasté de Mayotte
- Macron attendu "dans quelques heures" sur l'archipel dévasté de Mayotte
- Macron inaugure l'Académie de l'OMS à Lyon, "temple des savoirs"
- Nouvelle greffe d'un rein de porc sur une patiente américaine
- Biodiversité, climat, santé... : les crises liées entre elles, alertent des experts mandatés par l'ONU
- Les fosses communes, dernier espoir pour des Syriens de retrouver leurs proches
- L'Insee voit le taux de chômage remonter à 7,6% à la mi-2025
- Une Philippine condamnée à mort en Indonésie, bientôt rapatriée pour Noël
- Paris: enquête pour assassinat après la mort d'un adolescent de 16 ans lors d'une rixe
- Bolivie: Evo Morales, visé par un mandat d'arrêt, dénonce une "guerre juridique"
- Allemagne: virage à droite des conservateurs favoris des élections
- Mediapart annonce à son tour quitter le réseau social X
- Le père et la belle-mère de la petite Sara condamnés à la perpétuité à Londres
- Paris: un adolescent de 16 ans tué lors d'une rixe entre bandes rivales, une interpellation
- Sous le feu des critiques, Bayrou promet de ne laisser aucun défi "sans réponse"
- Dans une ferme-laboratoire américaine, des porcs transgéniques élevés pour vendre des reins aux humains
- Wall Street en retrait avant la réunion de la Fed
- Fin de course pour "l'autodidacte" de l'assurance Sadri Fegaier
- Cyclisme: Michel Callot réélu pour un troisième mandat à la tête de la Fédération française
- Paul Watson libéré après le refus du Danemark de l'extrader vers le Japon
- Les tortionnaires de la petite Sara à Londres condamnés à la perpétuité
Sur fond de cyclone meurtrier à Mayotte, Bayrou va consulter les forces politiques
François Bayrou recevra à compter de lundi les forces politiques, en quête d'une solution viable pour former un gouvernement à même de faire passer, sans majorité, un projet de budget, sur fond de cyclone meurtrier à Mayotte qui a fait "certainement plusieurs centaines de morts" selon le préfet.
Le nouveau Premier ministre , allié de long date d'Emmanuel Macron, qui compte être "un Premier ministre de plein exercice et de complémentarité" avec le président, devrait revoir le chef de l'Etat dimanche soir, a appris l'AFP auprès de l'entourage de M. Bayrou.
Emmanuel Macron avait hésité toute la matinée de vendredi à le nommer à Matignon et leur avant-dernier entretien avait été houleux, François Bayrou menaçant de quitter le bloc central.
M. Bayrou doit désormais rapidement constituer une équipe gouvernementale qui puisse porter un projet de loi de finances pour 2025, le dernier ayant été gelé par la censure du précédent gouvernement.
Il a reçu le soir de sa nomination vendredi, le ministre de l'Intérieur sortant Les Républicains Bruno Retailleau, qui doit se rendre à Mayotte, où un cyclone dévastateur a fait "certainement plusieurs centaines" de morts, selon le préfet de ce département.
Mais la gauche se montre réticente au maintien de ce ministre clivant, qui entend faire adopter une nouvelle loi immigration reprenant les articles censurés par le Conseil constitutionnel dans la précédente.
A l'inverse le président Les Républicains du Sénat Gérard Larcher a plaidé pour que soit reconduit son collègue de parti, ancien pilier de la Chambre haute, et pour une "feuille de route qui permette de débloquer la situation".
François Bayrou a reçu également dimanche le ministre sortant du Budget Laurent Saint-Martin, après s'être entretenu samedi avec le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, et le président la Cour des comptes Pierre Moscovici.
- Par "importance" -
Équilibres gouvernementaux et budget 2025 seront au cœur des entretiens que François Bayrou tiendra à compter de lundi avec les groupes parlementaires et les responsables de partis.
Ces forces politiques seront reçues "par leur ordre d'importance" numérique à l'Assemblée nationale, à commencer lundi à 09H00 par la présidente du groupe des députés Rassemblement national, Marine Le Pen, qui représente 124 élus, et le président du parti, Jordan Bardella.
Ces derniers avaient déploré ne pas avoir été reçus assez tôt par l'ancien Premier ministre Michel Barnier, qui lui-même avait assuré avoir proposé de les recevoir.
M. Bayrou, qui a tenu à appeler personnellement chaque chef de groupe, s'entretiendra ensuite avec Gabriel Attal, qui est à la fois le chef de file des députés macronistes Ensemble pour la République (EPR, 93 élus), et le président du parti Renaissance.
Devraient suivre les représentants de la France insoumise, du Parti socialiste, puis de la droite, des écologistes, du MoDem, d'Horizons, les indépendants de Liot, les communistes, et enfin l'ex LR Eric Ciotti désormais allié du RN.
La gauche et l'extrême droite, qui avaient joint leurs voix pour censurer le 5 décembre le gouvernement de Michel Barnier, ont exprimé à nouveau leurs positions dimanche, le PS continuant à se dire ouvert à des discussions.
- "Méprisable coalition" -
Le premier secrétaire du PS, Olivier Faure a souhaité sur France 3 que la nomination de François Bayrou soit synonyme d'un "changement de cap, aussi minime soit-il", même si le président du MoDem "accompagne la politique d'Emmanuel Macron" depuis "sept ans".
"Je souhaite une discussion, et si de la discussion il y a des avancées possibles (...) je les prendrai", a-t-il dit.
Lors d'une réunion mardi des groupes politiques, sans le RN ni LFI, autour d'Emmanuel Macron, la gauche avait proposé que le gouvernement renonce à utiliser l'article 49.3 pour faire passer sans vote ses textes, en contrepartie d'un engagement à ne pas le censurer.
Dans l'Eure dimanche Marine Le Pen a fustigé une "méprisable coalition des contraires, prêts à tout pour s'attribuer des postes ministériels".
En attendant de s'entendre sur un budget, les députés lundi puis les sénateurs mercredi examineront le projet de la loi spéciale qui permet, en l'absence de budget pour 2025, de lever les impôts, dépenser des crédits sur la base du précédent budget (2024), et d'autoriser l'Etat et la Sécurité sociale à emprunter.
Reste à savoir si la présidente de l'Assemblée Yaël Braun-Pivet retiendra les amendements déposés pour inscrire dans ce texte une indexation du barème des impôts, étant donné le risque d'inconstitutionnalité d'une telle mesure.
B.Shevchenko--BTB