
-
La Chine menace de resserrer "le nœud coulant" autour de Taïwan
-
La "petite Amérique" allemande à l'épreuve de la présidence Trump
-
Le Nigeria veut profiter du cours élevé du cacao pour redynamiser sa production locale
-
Ski alpin: Dominik Paris maître des lieux à Kvitfjell
-
Aux Etats-Unis, interdire le smartphone dans les écoles ne convainc pas tout le monde
-
Guerre commerciale: la dernière riposte chinoise entre en vigueur
-
Ski alpin: Dominik Paris remporte le super-G de Kvitfjell
-
Japon : le pire incendie de forêt depuis 50 ans est maîtrisé
-
Australie: près de 330.000 foyers plongés dans le noir après le passage d'Alfred
-
Attentats dans le sud de la Thaïlande : cinq morts et treize blessés, selon la police
-
Propos sur l'histoire coloniale en Algérie: Aphatie annonce qu'il ne reviendra pas à RTL
-
XV de France: en vue de l'Ecosse, la vie sans Dupont
-
Rendez-vous dans cinq ans: à Paris, dernières visites au Musée d'art moderne du Centre Pompidou
-
Le pape François a passé une "nuit calme" et son état est "stable", selon le Vatican
-
Trêve à Gaza: efforts accrus des médiateurs, négociations au Caire et à Doha
-
Le dirigeant syrien appelle à l'unité après des violences meurtrières inédites
-
Paris-Nice: cinq choses à savoir sur le "Tour de France en huit jours"
-
NBA: Boston domine les Lakers, LeBron James sorti blessé
-
Argentine: 13 morts dans les pluies torrentielles qui ont dévasté Bahia Blanca
-
Libération de 28 policiers et un militaire détenus dans le sud-ouest de la Colombie
-
Chine: les prix à la consommation chutent en février, une première en un an
-
Le Canada change de Premier ministre en pleine guerre commerciale avec les Etats-Unis
-
Londres : un homme qui avait escaladé Big Ben avec un drapeau palestinien arrêté
-
Indian Wells: Djokovic chute encore d'entrée, Alcaraz tranquille
-
Argentine: au moins 13 morts dans des pluies torrentielles à Bahia Blanca
-
Indian Wells: Alcaraz dompte Halys, Keys déroule pour son entrée en lice
-
Ligue 1: Lens punit l'OM de son inefficacité
-
Euro d'athlétisme en salle: médailles de bronze pour Bonnin et Soudril
-
8-Mars: dans le monde, des femmes mobilisées contre les inégalités et la montée du "masculinisme"
-
Athlétisme: la perchiste Marie-Julie Bonnin dans la cour des grandes
-
Ligue 1: Lille enfonce Montpellier et revient à hauteur de Monaco
-
Argentine: au moins 12 morts dans des pluies torrentielles dans la ville de Bahia Blanca
-
La Russie revendique des avancées dans sa région de Koursk, Zelensky veut "la paix"
-
A Ajaccio, les "vivants" manifestent pour dire "non" à la mafia
-
L1: le PSG purge sa frustration et prépare Anfield avec une large victoire à Rennes
-
Cyclisme: Pogacar digère sa chute et reste l'ogre des Strade Bianche
-
Angleterre: Manchester City soucieux, Liverpool encore chanceux
-
Allemagne: le Bayern et Leverkusen tombent à domicile avant la Ligue des champions
-
A Dobropillia, dans l'Est ukrainien, "c'était l'apocalypse"
-
XV de France: Penaud rejoint Blanco dans la légende avec 38 essais
-
Six nations: pour les Bleus, parole à la défense
-
Iran: Khamenei fustige une politique "d'intimidation" après des menaces de Trump
-
Six nations: après son triomphe en Irlande, la France peut rêver du Tournoi
-
Paris-Nice: "Gagner reste mon objectif principal", souligne Julian Alaphilippe
-
L'Allemagne se rapproche d'un gouvernement sous l'égide de Friedrich Merz
-
Cyclisme: malgré une chute, Pogacar remporte les Strade Bianche pour la 3e fois
-
Deux rares oeuvres de Magritte vendues aux enchères à Caen
-
Des milliers de manifestants en France pour l'égalité femmes-hommes et contre le "masculinisme"
-
8-mars: plusieurs milliers de manifestants pour les droits de femmes à Paris
-
"A69, on finit!", plusieurs milliers de pro-autoroute se font entendre après l'arrêt du chantier

Corée du Sud : le président suspendu Yoon Suk Yeol sort de prison
Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol a été remis en liberté samedi après l'annulation par un tribunal de son arrestation pour des raisons de procédure, mais il fait toujours l'objet d'une enquête sur sa déclaration de la loi martiale.
"Je m'incline en signe de gratitude envers le peuple de cette nation", a déclaré M. Yoon dans un communiqué diffusé par ses avocats.
M. Yoon a quitté le centre de détention où il était incarcéré depuis janvier. Il est monté ensuite dans un convoi de véhicules et s'est rendu directement à la résidence présidentielle, ont constaté des journalistes de l'AFP. Il est sorti de sa voiture à l'extérieur de la résidence pour saluer les centaines de partisans qui l'acclamaient.
"La libération du président signifie le respect de l'Etat de droit", a dit son équipe juridique dans un communiqué.
Un tribunal sud-coréen avait annulé vendredi le mandat d'arrêt en vertu duquel M. Yoon était détenu, mais cette décision n'a pas entraîné sa remise en liberté immédiate, le code de procédure pénale sud-coréen donnant au parquet jusqu'à sept jours pour faire appel.
Samedi, le parquet sud-coréen a annoncé avoir ordonné la remise en liberté du président suspendu, selon l'agence de presse Yonhap, renonçant ainsi à son droit de faire appel.
Dans un communiqué, le ministère public a indiqué avoir envoyé "un ordre de libération du président Yoon au centre de détention de Séoul aujourd'hui".
L'opposition a critiqué cette décision, le dirigeant Lee Jae-myung, déclarant lors d'un rassemblement vouloir "se battre jusqu'à ce que l'insurrection soit terminée".
- Coup de force -
L'équipe juridique de M. Yoon avait intenté le mois dernier un recours contre le maintien en détention de leur client, soutenant que les procureurs l'avaient inculpé un jour après l'expiration du mandat en vertu duquel il était détenu après sa tentative ratée de suspendre le régime civil en décembre.
M. Yoon, un ancien procureur, doit également faire face à une décision distincte de la Cour constitutionnelle, qui doit décider si elle doit confirmer sa mise en accusation et le démettre officiellement de ses fonctions, la décision des juges étant attendue d'un jour à l'autre.
La Corée du Sud doit organiser une nouvelle élection présidentielle dans les 60 jours si M. Yoon est démis de ses fonctions. La procédure pénale engagée contre lui se poursuivra même s'il est officiellement démis de ses fonctions.
Le président conservateur avait plongé la Corée du Sud dans le chaos politique dans la nuit du 3 au 4 décembre en décrétant la loi martiale et en envoyant l'armée au Parlement pour tenter de le museler.
Il avait dû faire marche arrière six heures plus tard, les députés étant parvenus à se réunir en urgence et à voter une motion exigeant le retour au régime civil.
Yoon Suk Yeol, 64 ans, avait justifié son coup de force par le fait que le Parlement, dominé par l'opposition, bloquait l'adoption du budget de l'Etat. Dans une allocution télévisée surprise, il avait dit vouloir "protéger la Corée du Sud libérale des menaces posées par les forces communistes nord-coréennes" et "éliminer les éléments hostiles à l'Etat".
Selon ses avocats, M. Yoon avait déclaré la loi martiale pour alerter le pays sur les dangers d'une "dictature législative" de la part de l'opposition.
F.Müller--BTB