
-
Au Canada, premier débat très attendu à moins de deux semaines des législatives
-
Entre inflation des bouteilles et nouveaux goûts, la consommation mondiale de vin au plus bas depuis 1961
-
Accord historique à l'OMS sur la préparation et la lutte contre les futures pandémies
-
De nouvelles restrictions aux exports de puces vers la Chine affectent Nvidia
-
Le géant minier canadien Barrick Gold contraint de fermer ses bureaux au Mali
-
République dominicaine: première plainte pour "homicide involontaire" après le drame de la discothèque
-
Foot/Droits TV: la Ligue rompt avec DAZN, ouvrant un abîme d'incertitudes
-
Trump ressuscite le fantôme de bases militaires américaines au Panama
-
C1: le Barça résiste à Dortmund et retrouve le dernier carré
-
C1: le PSG tremble, chute à Aston Villa mais retrouve les demi-finales
-
Wall Street termine en baisse, dans l'attente de nouvelles étapes de la guerre commerciale
-
Soudan: les paramilitaires annoncent un gouvernement rival après deux ans de guerre
-
Raids "sans précédent" en Europe, 200 arrestations et saisie de drogue
-
Le gouvernement veut récuperer 15 milliards d'euros sur la fraude en 2026
-
Dette: Bayrou diagnostique une "situation intolérable", sans s'avancer sur les solutions
-
Elus et usagers des lignes SNCF "dégradées" repartent déçus de leur montée à Paris
-
Le Hamas dit avoir perdu le contact avec le groupe détenant un otage israélo-américain
-
Pérou: l'ex-président Ollanta Humala condamné à 15 ans de prison dans l'affaire Odebrecht
-
Hermès devient la société de luxe la plus valorisée au monde, détrônant LVMH
-
Dernières négociations poussives à l'OMS sur l'Accord sur les pandémies
-
La Bourse de Paris termine en hausse, sur fond d'incertitudes douanières
-
Hermès devient la première capitalisation boursière du CAC 40, devant LVMH
-
Prisons visées par des attaques: "pas de revendication", indique Darmanin
-
Hanouna a mis le cap vers M6, ses dirigeants saluent un "joueur d'équipe"
-
La guerre au Soudan entre dans sa troisième année sans issue en vue
-
Guerre commerciale: la Chine suspend les réceptions de Boeing, selon Bloomberg
-
Basket: le Parisien Nadir Hifi élu meilleur jeune joueur de l'Euroligue
-
Après 4 mois de prison, Pierre Palmade va être libéré sous bracelet
-
Mark Zuckerberg de retour à la barre pour défendre Meta
-
Stellantis: un tiers des actionnaires s'oppose à la politique de rémunération des dirigeants
-
Wall Street ouvre en petite hausse, sans grande conviction
-
L'antiterrorisme saisi après de mystérieuses attaques visant des prisons
-
Foot/Droits TV: fin de la médiation entre la LFP et DAZN, pour quelle solution ?
-
Sébastien Cauet va faire son retour à la radio, sur Europe 2
-
Dette: Bayrou présente un sombre "diagnostic" aux Français mais reste discret sur ses remèdes
-
Plusieurs prisons visées par des incendies de véhicules ou des tirs, l'antiterrorisme saisi
-
Le gouvernement veut réduire les dépenses de 6% d'ici 2029, sans "tronçonneuse"
-
Dette: Bayrou présente un sombre "diagnostic" aux Français mais reste discret sur les remèdes
-
NBA: Gilgeous-Alexander et Jokic, deux candidats MVP au-dessus du lot
-
Au Soudan, deux ans de guerre civile sans issue en vue
-
Le démantèlement de l'USAID, catastrophe pour la santé en Afrique
-
Tempête de sable en Irak: 3.700 patients soignés pour des troubles respiratoires
-
La Bourse de Paris à l'équilibre, entre Trump et luxe
-
Combattants chinois capturés en Ukraine: Pékin met en garde contre toute "manipulation"
-
Le Japon ordonne à Google de cesser la violation présumée des règles de concurrence
-
La France prête au bras de fer avec l'Algérie
-
Argentine: peso déprécié et attentisme au premier jour "libre" de contrôle des changes
-
Chocolats de Pâques: les cloches s'envolent et les prix aussi
-
Euroligue: A Madrid, Paris a le droit de rêver
-
Audiences radio: France Inter toujours devant, RTL repasse devant franceinfo

Malgré les tensions commerciales, Trump "optimiste" sur un accord avec Pékin
Après plusieurs jours de tensions croissantes avec Pékin, le président américain Donald Trump a semblé infléchir sa position, alors que la Maison Blanche le dit "optimiste" quant à la conclusion d'un accord avec la Chine, malgré une escalade dans leur duel commercial à coup de droits de douane.
"Le président a signifié clairement qu'il était très ouvert à la question d'un accord avec la Chine", a assuré la porte-parole de la présidence, Karoline Leavitt, sans pour autant préciser pourquoi M. Trump était "optimiste", lorsqu'un journaliste l'a pressée sur cette question.
Car dans l'immédiat les tensions ne cessent de monter: Pékin a annoncé porter ses droits de douane sur l'ensemble des produits américains entrant sur son territoire à 125%, le niveau imposé par Washington pour répondre aux précédentes représailles chinoises, en plus des taxes préexistantes.
Une guerre commerciale ouverte entre les deux premières puissances économiques qui inquiète de plus en plus investisseurs comme consommateurs.
Les marchés boudent à la fois la devise, la dette et les actions américaines, dans un accès de défiance généralisée que l'on observe d'ordinaire envers certains pays émergents, pas pour la première puissance mondiale.
Face aux incertitudes, la Fed s'est dite "absolument prête" à agir pour stabiliser les marchés financiers, si nécessaire, une action qui dépendra "des conditions que nous observerons", a déclaré au Financial Times l'une de ses responsables, Susan Collins.
Quant à la confiance des consommateurs, elle ne cesse de reculer aux Etats-Unis, comme l'a rappelé pour avril un baromètre très suivi publié vendredi par l'Université du Michigan, un recul "généralisé et unanime quels que soient l'âge, le revenu, le niveau d'études, le lieu de vie ou l'appartenance politique", selon l'enquête.
Le président américain a malgré tout estimé sur son réseau Truth Social que sa politique en matière de droits de douane "fonctionnait vraiment bien", concentrant depuis mercredi ses foudres douanières sur la Chine, après avoir dans un premier temps ciblé l'ensemble des partenaires commerciaux des Etats-Unis.
S'il est persuadé que la Chine veut négocier, le communiqué du ministère chinois des Finances annonçant une nouvelle hausse des droits de douane signale plutôt un enlisement du duel.
"Comme à ce niveau de tarifs douaniers, les produits américains exportés vers la Chine ne sont plus viables sur le marché" chinois, si Washington continue d'augmenter ses droits de douane, "la Chine l'ignorera", a-t-il averti.
- Demande d'enquête -
Mercredi, M. Trump avait fait en partie marche arrière dans son assaut protectionniste en suspendant pour 90 jours des surtaxes douanières visant les partenaires commerciaux des Etats-Unis, sauf pour Pékin, tout en laissant en place certains droits de douane augmentés et une taxe plancher de 10%.
La Chine a été finalement frappée par une taxe totale monumentale de 145%, soit 125% s'ajoutant à des droits de douane de 20% préexistants.
Cette annonce du président américain avait entraîné l'euphorie sur les marchés financiers, Wall Street connaissant au final une des meilleures séances de son histoire alors que la place boursière s'enfonçait encore en début de journée.
Tôt mercredi, Donald Trump avait écrit sur son réseau social que "c'est le bon moment pour acheter", avant d'annoncer cette suspension quelques heures plus tard, un message qui a poussé vendredi plusieurs sénateurs démocrates à demander au gendarme boursier américain, la SEC, d'ouvrir une enquête.
Ils souhaitent que l'instance vérifie si "les annonces douanières ont enrichi les proches et les amis de l'administration aux dépens du public américain" qui auraient notamment "eu préalablement connaissance de la pause tarifaire", ce qui constituerait un délit d'initié.
Pris entre deux feux, les Européens tentent de leur côté de négocier avec Washington, tout en devant composer avec Pékin.
Le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez a appelé à "rectifier" le déficit commercial des Européens avec la Chine mais sans "entraver le potentiel de croissance des relations" avec Pékin.
Dans l'immédiat, l'UE a suspendu sa riposte aux droits de douane américains.
Le commissaire européen en charge du commerce, Maros Sefcovic, se rendra lundi à Washington.
Si les discussions avec les États-Unis échouent, la Commission européenne pourrait taxer les géants américains de la tech, a menacé sa présidente Ursula von der Leyen.
burs-aue-els/ph
R.Adler--BTB