-
Le leader d'extrême droite José Antonio Kast élu président du Chili
-
Espagne: le Real Madrid se reprend face à Alavés, Xabi Alonso souffle
-
L1: Lens finit 2025 en tête, l'OM, l'OL et le Losc terminent bien
-
L1: Dans la souffrance, l'OM bat Monaco et s'accroche au podium
-
Dermatose: les agriculteurs du Sud-Ouest remontés, à la veille d'une visite de Genevard
-
Chili: l'extrême droite aux portes de la présidence 35 ans après Pinochet
-
Hand: les Norvégiennes reines incontestées du monde
-
Champions Cup: rebond pour Castres et Toulon, débâcles pour Pau et Bayonne
-
Champions Cup: rebond pour Castres et Toulon, débâcle pour Pau et pas Bayonne
-
Allemagne: le Bayern accroché pour la première fois à domicile par la lanterne rouge Mayence
-
Ligue 1: Lens, vainqueur de Nice (2-0), passera Noël en tête
-
Dermatose: les actions se multiplient dans le Sud-Ouest, à la veille d'une visite de Genevard
-
Mondial de hand: la saveur particulière d'un bronze qui lance une nouvelle ère
-
Biathlon: les Français titillent les Norvégiens avant de craquer
-
Le Chili aux urnes, l'extrême droite favorite de la présidentielle
-
Angleterre: Arsenal sous surveillance, jour de fête à Sunderland
-
Ligue 1: Sulc délivre Lyon face au Havre
-
Hand: les Bleues repartent en bronze du Mondial
-
Sydney : scènes de désolation sur la plage de Bondi après la fusillade meurtrière visant une fête juive
-
Etats-Unis: une personne arrêtée après les tirs qui ont fait deux morts à l'université Brown
-
L'EPR de Flamanville atteint 100% de puissance nucléaire pour la première fois
-
Ski: le Norvégien Haugan remporte le slalom de Val d'Isère, journée compliquée pour les Bleus
-
Le président ukrainien à Berlin pour des pourparlers avec Américains et Européens
-
Allemagne: les start-up de la défense réclament un virage technologique
-
Dermatose: la pression monte dans le Sud-Ouest, à la veille d'une visite de Genevard
-
Super-G de Saint-Moritz: Miradoli deuxième, sur les talons de Robinson
-
Le Chili élit son président, l'extrême droite donnée favorite
-
Une attaque contre une fête juive fait 11 morts à Sydney
-
Ski: Romane Miradoli deuxième du super-G de Saint-Moritz derrière Alice Robinson
-
Le plus ancien parti prodémocratie de Hong Kong annonce sa dissolution
-
Neuf morts dans une attaque par balles sur la plage de Bondi à Sydney
-
Dermatose: Genevard lundi dans le Sud-Ouest, où des blocages routiers persistent
-
Dermatose: des routes toujours bloquées dans le Sud-Ouest, Genevard sur place lundi
-
En Chine, les petites usines aussi veulent monter dans le train de l'automatisation
-
Affrontements entre le Cambodge et la Thaïlande: 26 morts en une semaine
-
La flavescence dorée plonge les viticulteurs hongrois en plein désarroi
-
Sur TikTok, le business lucratif des faux comptes d'actualités
-
De Miami au Guatemala, l'exil d'enfants séparés de leurs familles par Trump
-
Déjà vu? Trump accusé de déni économique et de déclin physique
-
Trump face au casse-tête des coûts d'assurance santé
-
Deux personnes tuées par des tirs à l'université américaine Brown, l'auteur en fuite
-
Ligue 1: Matthieu Udol, l'acharné Lensois qui toque à la porte des Bleus
-
Ligue 1: Rulli, pas au mieux mais toujours précieux pour l'OM
-
Coupe NBA: "j'étais une boule d'énergie", commente Wembanyama
-
Cambodge et Thaïlande continuent à se battre à leur frontière
-
Coupe NBA: retour flamboyant et gagnant pour Wembanyama, en finale avec les Spurs
-
Irrespirable en hiver, Islamabad se met à contrôler les automobilistes
-
Angleterre: Liverpool et Salah en paix, Arsenal s'en sort très bien
-
Champions Cup: Toulouse sombre en deuxième période et s'incline à Glasgow
-
Ligue 1: le PSG triomphe avec peine de Metz grâce à ses "titis" et Doué
Les Etats-Unis annoncent réduire de moitié leurs effectifs militaires en Syrie
Les Etats-Unis ont annoncé vendredi réduire de moitié leur présence militaire en Syrie, estimant avoir lutté avec "succès" contre le groupe Etat islamique (EI), même si des groupes jihadistes demeurent actifs dans un pays encore fragile.
Cette décision intervient près de trois mois après l'arrivée au pouvoir de Donald Trump, défavorable depuis longtemps à la présence américaine sur place et défenseur d'un retour à une politique isolationniste des Etats-Unis.
Les Etats-Unis disposent d'une présence militaire en Syrie depuis des années, notamment dans le cadre de la coalition internationale contre l'EI.
La présence américaine en Syrie va être ramenée "à moins d'un millier de soldats dans les mois prochains", sur environ 2.000 actuellement, a déclaré Sean Parnell, le porte-parole du Pentagone, dans un communiqué.
"Cette consolidation démontre les pas importants que nous avons faits pour dégrader l'attrait et les capacités opérationnelles du groupe Etat islamique, dans la région et dans le monde", a-t-il dit, évoquant plus globalement "le succès des Etats-Unis contre l'EI".
- "Pas notre combat" -
Donald Trump, arrivé au pouvoir à Washington le 20 janvier, est depuis longtemps sceptique sur la présence militaire en Syrie. Et la chute fin décembre de Bachar al-Assad, remplacé à la tête du pays par une coalition menée par des islamistes, n'a pas changé la donne.
"La Syrie est un bordel, mais elle n'est pas notre amie, (...) ce n'est pas notre combat", avait écrit Donald Trump en décembre lors de l'offensive qui avait mis fin à cinquante ans de règne sans partage par le clan Assad.
La prise de contrôle de pans entiers de la Syrie et de l'Irak par l'EI à partir de 2014 a déclenché l'intervention d'une coalition internationale menée par les Etats-Unis visant surtout à soutenir, par les airs, les unités de l'armée irakienne et les Kurdes qui combattaient l'EI au sol.
Mais Washington a alors aussi déployé des milliers de ses soldats pour soutenir ces troupes locales et mener ses propres opérations militaires.
Après la victoire contre l'EI, déclarée en 2017 en Irak et 2019 en Syrie, une présence militaire américaine est restée sur place -- surtout dans le nord-est du pays contrôlé par les forces kurdes -- pour s'en prendre aux cellules restantes de groupes jihadistes.
Fin décembre, l'administration de l'ancien président démocrate Joe Biden, alors au pouvoir, avait annoncé avoir augmenté les effectifs américains en Syrie sur les mois précédents, alors que Washington affirmait depuis des années compter 900 militaires sur place.
L'armée américaine "va rester prête à mener des frappes contre ce qu'il reste de l'EI en Syrie", a déclaré vendredi le porte-parole du Pentagone, qui dit maintenir "des capacités importantes dans la région".
Les Etats-Unis disposent d'environ 2.500 soldats en Irak, une présence appelée à diminuer.
La sécurité en Syrie reste précaire depuis la chute de Bachar al-Assad, après près de 14 ans d'une guerre déclenchée par la répression violente de manifestations antigouvernementales en 2011.
A la tête de forces de sécurité dominées par d'anciens rebelles islamistes, les autorités syriennes de transition ont la lourde tâche de maintenir la sécurité dans un pays multiethnique et multiconfessionnel où demeurent encore de nombreux groupes armés, parmi lesquels des jihadistes.
C.Kovalenko--BTB