Berliner Tageblatt - Macron juge nécessaires "de nouvelles discussions" avec l'Ukraine, sans confirmer une visite à Kiev

Euronext
AEX 1.33% 874.48
BEL20 0.58% 4237.33
PX1 1.32% 7311.8
ISEQ 1.21% 9809.12
OSEBX 1.7% 1426.26 kr
PSI20 1.27% 6374.81
ENTEC -0.41% 1416.23
BIOTK -0.26% 2935.09
N150 1.8% 3314.4
Macron juge nécessaires "de nouvelles discussions" avec l'Ukraine, sans confirmer une visite à Kiev
Macron juge nécessaires "de nouvelles discussions" avec l'Ukraine, sans confirmer une visite à Kiev / Photo: © POOL/AFP

Macron juge nécessaires "de nouvelles discussions" avec l'Ukraine, sans confirmer une visite à Kiev

Le président français Emmanuel Macron a jugé mercredi nécessaires "de nouvelles discussions" avec l'Ukraine, sans confirmer directement une visite à Kiev, évoquée par plusieurs médias.

Taille du texte:

"Aux portes de notre Union européenne se joue une situation géopolitique inédite, donc oui, pour toutes ces raisons, le contexte politique et les décisions que l'Union européenne et plusieurs nations devront prendre, se justifient de nouvelles discussions en profondeur et de nouvelles avancées", a déclaré M. Macron sur une base de l'Otan en Roumanie.

Arrivé mardi soir, Emmanuel Macron a dîné avec des soldats français sur cette base située non loin de la stratégique mer Noire, avant de décider de rester dormir sur place sous une tente, et non à l'hôtel selon l'Élysée.

Mercredi matin, il a fait un jogging avant de prendre le petit déjeuner avec les soldats et de retrouver le président Iohannis, avec lequel il s'est entretenu pendant plus d'une heure.

Accompagné par la nouvelle ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna, M. Macron devait ensuite s'envoler pour la Moldavie voisine, où il sera reçu dans la capitale Chisinau par la présidente pro-européenne Maia Sandu, avec laquelle il a développé "une relation de confiance". Il l'a reçue à trois reprises depuis février 2021.

Premier président français à visiter ce pays depuis Jacques Chirac en 1998, il exprimera le "soutien (de la France) de la manière la plus directe possible" à cette ancienne République soviétique, particulièrement affectée par l'invasion russe de l'Ukraine, avec qui elle dispose d'une frontière commune.

R.Adler--BTB