- Open d'Australie: Monfils assomme Fritz, Swiatek monte en puissance
- Ligue 1: Lyon contraint au rebond pour éviter la crise
- Open d'Australie: vainqueur de l'Américain Fritz, Monfils prolonge son rêve océanien
- Ligue 1: le PSG monte en pression à Lens avant Manchester City
- NBA: Butler de retour, San Antonio s'effondre
- Mondial de hand: les Bleus bouclent leur tour de chauffe
- Corée du Sud: Yoon présent au tribunal pour une audience sur la prolongation de sa détention
- Open d'Australie: Swiatek fait mieux qu'en 2024, avant le duel Fritz-Monfils
- Le froid polaire sur Washington contraint Trump à prêter serment à l'intérieur du Capitole
- Corée du Sud: la justice appelée à examiner la demande de prolongation de la détention de Yoon
- TikTok annonce sa fermeture quasi certaine dimanche aux Etats-Unis après la décision de la Cour suprême
- Bolivie: l'ancien président Evo Morales, visé par un mandat d'arrêt, dénonce une "justice partiale"
- Gaza: Israël avalise l'accord de cessez-le-feu avec le Hamas, début de la trêve dimanche
- A Los Angeles, la recherche de victimes se poursuit même à cheval
- Ligue 1: Lille renverse Nice (2-1) et monte enfin sur le podium
- Foot: le PSG frappe fort en s'offrant Kvaratskhelia
- Wall Street termine la semaine en hausse avant l'investiture de Trump
- Foot: Enfant de la balle devenu "Kvaradona", cinq choses à savoir sur Khvicha Kvaratskhelia
- "Plus tristes que choqués", les créateurs de contenus de TikTok se préparent à sa possible disparition
- Ligue 1: Montpellier se réveille, Monaco n'avance plus
- Des milliers de Serbes protestent devant la télévision nationale
- Bolivie : ordre d'arrestation de l'ex-président Evo Morales
- Foot: Denis Law, roi d'Écosse et d'Old Trafford
- Confusion autour du sort de TikTok, la Cour suprême ouvre la voie à une interdiction
- Le conseil des ministres israélien réuni pour voter sur un feu vert final à l'accord de trêve à Gaza
- Trump revient à la Maison Blanche
- Slalom de Wengen: Noël face à "la plus belle piste" du circuit
- La Bourse de Paris finit en nette hausse
- Après un appel, Trump et Xi s'engagent à améliorer leurs relations
- USA: la Cour suprême ouvre la voie à l'interdiction de TikTok, Trump réclame du temps pour statuer
- Les Bourses européennes finissent en nette hausse
- Biathlon: troisième victoire d'affilée pour le relais français, un record
- La Colombie suspend les négociations de paix avec l'ELN après une journée meurtrière
- Coupe dans le budget sport: le gouvernement Bayrou se fait copieusement siffler
- Commerce: sous pression de Trump, l'UE et le Mexique renforcent leur partenariat
- Le FMI modérément optimiste pour l'économie mondiale dans ses prévisions pour 2025
- Super-G de Wengen: première pour von Allmen, l'énième fusée suisse
- Le cabinet de sécurité israélien donne son feu vert à l'accord de trêve à Gaza
- Wall Street ouvre en hausse, rebondit à la fin d'une semaine chargée
- Secret défense: la journaliste Ariane Lavrilleux échappe à des poursuites judiciaires
- Foot: un bail de très longue durée pour Haaland à Manchester City
- Le cabinet israélien donne son feu vert à l'accord de trêve à Gaza
- Secret défense: la journaliste Ariane Lavrilleux annonce échapper à des poursuites
- Ecole: Elisabeth Borne dévoile ses arbitrages et revient sur le "brevet couperet"
- Foot: la Belgique limoge son sélectionneur Domenico Tedesco (fédération)
- Pakistan: Imran Khan écope de 14 ans de prison
- Les tests de dépistage rapide du Covid bientôt déremboursés
- Ski: à Cortina d'Ampezzo, Lindsey Vonn peut retrouver ses bonnes habitudes
- L'UE annonce approfondir son enquête sur X après des provocations de Musk
- Open d'Australie: Humbert gagne un derby français tronqué par la blessure de Fils
Ukraine: ballet diplomatique pour éviter un conflit armé
Le ballet diplomatique se poursuit mercredi autour de l'Ukraine, après que Vladimir Poutine a dit espérer "une solution" à la profonde crise russo-occidentale tout en affirmant craindre un "conflit armé".
Le Premier ministre néerlandais, Mark Rutte a été reçu par le président ukrainien Volodymyr Zelensky à Kiev, au lendemain des visites des chefs des gouvernements britannique et polonais. Jeudi, c'est le président turc, Recep Tayyip Erdogan, dont le pays est un fournisseur de drones de combats à l'Ukraine, qui est attendu.
L'armée ukrainienne, après des années de relative disette, a vu les livraisons d'armes occidentales augmenter ces dernières semaines, des approvisionnements dénoncés par Moscou.
"Ces armes, c'est de la défense, nous ne pensons qu'à la paix", a assuré le chef de l'Etat ukrainien.
La veille, Vladimir Poutine, qui s'exprimait pour la première fois publiquement depuis des semaines sur la crise autour de l'Ukraine, a accusé les Etats-Unis d'ignorer des préoccupations sécuritaires légitimes de la Russie pour sa sécurité.
Il aussi estimé que Washington jouait la surenchère pour entraîner Moscou dans un "conflit armé" afin de pouvoir lui infliger les "sanctions les plus dures".
"J'espère qu'au final nous trouverons une solution", a-t-il ensuite dit.
Selon Moscou, la question fondamentale n'est pas le déploiement militaire russe massif aux portes de l'Ukraine depuis des semaines et que l'Occident dénonce, mais la menace de l'avancée vers l'Est de l'Otan.
La Russie exige donc la fin de la politique d'élargissement de l'Alliance, ainsi que le retrait d'Europe de l'Est de ses capacités militaires.
- Fuite dans la presse -
Ces demandes ont été rejetées par les Etats-Unis et leurs alliés, Washington proposant en retour de travailler aux d'autres mesures de confiance sur des limites au déploiement de missiles ou aux manoeuvres militaires.
Le quotidien espagnol El Pais a publié le détail des réponses américaines et de l'Otan à la Russie, une fuite dont le contenu n'a été démenti par aucun des camps.
Dans le texte américain, Washington propose que les deux rivaux s'engagent à ne pas déployer de moyens militaires offensifs en territoire ukrainien, que la Russie inspecte certaines infrastructures militaires qui l'inquiètent en Europe, et que les deux pays s'accordent sur un contrôle des armements de courte et moyenne portée.
Les Etats-Unis se disent aussi prêt à discuter de "l'indivisibilité de la sécurité". Le Kremlin se fonde sur ce concept pour réclamer un recul de l'Otan du voisinage de la Russie, arguant que la sécurité des uns ne peut se faire aux dépens d'autres, en dépit du droit de chaque Etat, et donc de l'Ukraine, à choisir ses alliances.
Moscou n'a pas commenté cette publication, mais elle avait dit ces derniers jours que des pistes proposées par Washington étaient "positives" mais "secondaires". Le Kremlin est en train de préparer une réponse, laissant présager la poursuite du dialogue.
Les Occidentaux estiment cependant que la Russie doit reculer d'abord ses troupes des frontières de l'Ukraine, pays dont elle a annexé une partie du territoire en 2014, la Crimée, et où elle soutient des séparatistes armés dans un conflit qui dure depuis huit ans dans l'Est ukrainien.
En cas d'attaque, ils ont promis des sanctions censées sévèrement mettre à mal l'économie russe et s'en prendre aux oligarques et aux proches du Kremlin.
Le président ukrainien a réclamé des sanctions "préventives" à des fins de dissuasion, et non pas seulement en cas d'attaque.
Le Premier ministre britannique Boris Johnson espère lui parler à Vladimir Poutine mercredi. Son pays, terre d'accueil privilégiée pour les grandes fortunes et groupes russes, veut les viser dans un prochain train de sanctions.
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, n'a pas confirmé l'entretien, assurant cependant que le président russe était toujours "prêt à discuter, même avec ceux qui ne comprennent pas ce qui se passe".
J.Fankhauser--BTB