
-
La Bourse de Paris en hausse veut croire au plan d'investissements allemand
-
Taxes Trump: un brasseur belge minimise le risque en accélérant ses expéditions
-
Israël promet de poursuivre l'offensive à Gaza après des frappes ayant fait 330 morts
-
Le chinois BYD créé un système de recharge ultra-rapide pour ses voitures électriques
-
Paris: évacuation sous tension des jeunes migrants occupant la Gaîté lyrique
-
Moscou et Pékin ont recours à un "arsenal numérique massif" pour manipuler les démocraties, selon l'UE
-
Cantines scolaires: une proposition de loi va être déposée pour interdire couverts et assiettes en plastique
-
Tennis: Swiatek, Alcaraz, Djokovic, des cadors attendus au rebond à Miami
-
Ligue des champions féminine: Hegerberg (Lyon) en pointillés
-
Aux Etats-Unis, les communautés numériques, refuges pour employés fédéraux licenciés
-
NBA: Denver trop fort pour Golden State même sans Jokic
-
Israël promet de poursuivre l'offensive à Gaza après d'intenses frappes ayant
fait au moins 330 morts
-
Paris: évacuation houleuse de la Gaîté lyrique, occupée pendant trois mois par des migrants
-
Bourse: l'action BYD décolle après la révélation de son système de charge ultra-rapide
-
Les deux astronautes américains coincés dans l'ISS en route pour la Terre
-
Au moins 220 morts dans des frappes à Gaza, le Hamas accuse Israël de reprendre la guerre
-
Il y a 150.000 ans à Abidjan, une immense forêt tropicale et déjà l'Homo sapiens
-
A Sofia, l'agonie de la montagne Vitosha, berceau du skieur Popov
-
Taïwan dit avoir détecté 59 avions chinois autour de l'île en 24 heures
-
Au moins 121 morts dans des frappes sur Gaza, le Hamas accuse Israël de "torpiller" la trêve
-
Royaume-Uni: coupes attendues dans les aides sociales, fronde chez les travaillistes
-
Allemagne: Friedrich Merz soumet son "bazooka" d'investissements au vote des députés
-
Trump tente de rallier Poutine à son projet de trêve en Ukraine
-
Immigration: au Sénat, deux textes LR pour donner à Retailleau les moyens de son action
-
Un chasseur jugé pour avoir tué une ourse en 2021 dans les Pyrénées
-
Le lycée musulman Averroès devant la justice pour récupérer son contrat avec l'Etat
-
Chili: l'Observatoire européen alerte sur l'impact "dévastateur" d'une centrale près de ses télescopes
-
Trump n'en finit plus de contester l'autorité des juges
-
Les deux astronautes américains coincés dans l'ISS s'apprêtent enfin à rentrer sur Terre
-
Collision en mer du Nord: des granulés de plastique découverts dans l'eau et sur la côte
-
La Bourse de Paris soutenue par les plans économiques allemand et chinois
-
Wall Street termine dans le vert, la reprise se prolonge
-
La superstar du MMA Conor McGregor choyée à la Maison Blanche
-
La suspension de Radio Free Europe va aider "nos adversaires", avertit l'UE
-
L1: le Classique rebondit, Adrien Rabiot et l'OM réagissent après les banderoles
-
Nucléaire: l'Elysée vise désormais 2038 pour la mise en service du premier réacteur EPR2
-
Ligue 1: le Classique rebondit, Adrien Rabiot réagit après les banderoles
-
Aux Forges de Tarbes, les commandes européennes dopent la fabrication d'obus
-
Le pape peut se passer d'assistance respiratoire pour de "courts moments"
-
Deux militaires tués par un train à un passage à niveau dans le Pas-de-Calais
-
Terres rares: face au monopole chinois, une usine de recyclage franco-japonaise en construction en France
-
Nourrir les chiens et "volonté de Dieu": une journée à la lisière du front ukrainien
-
Face à Trump, le Premier ministre canadien à Paris et Londres pour renforcer les liens avec l'Europe
-
Est de la RDC: l'UE sanctionne des chefs militaires rwandais, rupture des relations diplomatiques Rwanda-Belgique
-
Trump n'en finit plus de défier les juges
-
Au Sénégal, les machines géantes d'un groupe minier français avalent terres et désert
-
L'UE va fournir une aide de 2,5 milliards d'euros à la reconstruction de la Syrie
-
La Macédoine du Nord en deuil après l'incendie d'une discothèque, des arrestations en vue
-
Le télescope James Webb détecte directement du CO2 sur une exoplanète
-
Sans aide internationale, les Syriens quitteront leur pays, prévient la Croix-Rouge

Ukraine: début de retrait militaire russe, un signe "positif" pour Paris, Berlin et l'Otan
Paris, Berlin et l'Otan ont noté mardi un premier signe "positif" après l'annonce d'un retrait partiel des forces russes déployées autour de l'Ukraine, qui font craindre depuis des semaines une invasion et une guerre d'ampleur.
Le ministère russe de la Défense a annoncé, avant une rencontre à Moscou entre le chancelier allemand Olaf Scholz et Vladimir Poutine, qu'une partie des 100.000 hommes déployés retournait dès mardi en garnison, diffusant à cet effet des images de blindés chargés sur un train.
Le président russe a confirmé ce "retrait partiel", mais ni le Kremlin ni l'armée n'en ont détaillé le calendrier ou l'ampleur. La Russie poursuit en outre d'importantes manoeuvres au Bélarus, voisin prorusse de l'Ukraine, jusqu'au 20 février.
"Le fait que nous entendions maintenant que certaines troupes sont retirées est en tout cas un bon signe. Nous espérons qu'il y aura encore des suites", a déclaré à Moscou le chancelier allemand, lors d'une conférence de presse avec le président russe.
Le secrétaire général de l'Otan Jens Stoltenberg a de son côté exprimé un "optimisme prudent", tout en disant attendre un "signe de désescalade".
"Les paroles, c'est bien. Nous attendons les actes. Si les actes sont là, ce sera encore mieux", a lancé le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian, à l'Assemblée nationale.
Kiev a salué l'union de l'Ukraine et de ses alliés occidentaux qui a "empêché toute nouvelle escalade de la part de la Russie".
MM. Poutine et Scholz ont insisté vouloir un processus de négociations sur les questions de sécurité en Europe.
Et un nouvel appel téléphonique entre chefs des diplomaties russe et américaine avait lieu mardi, selon département d'Etat américain).
- "Le chemin de la négociation" -
Les Occidentaux et Moscou doivent trouver un compromis "sans abandonner leurs principes", a relevé M. Scholz, "c'est notre satané devoir de nous engager pour la paix".
"Nous sommes prêts à aller sur le chemin de la négociation", a dit le maître du Kremlin.
Il a cependant dénoncé le rejet par les Occidentaux de ses principales exigences, déplorant ne pas avoir reçu "de réponse constructive".
Ces revendications sont la fin de la politique d'élargissement de l'Alliance, l'engagement à ne pas déployer d'armes offensives à proximité du territoire russe et le retrait d'infrastructures de l'Otan d'Europe de l'Est.
Ces exigences ont été rejetées par les Occidentaux, qui ont proposé en échange des pourparlers sur des sujets comme le contrôle des armements, les visites d'installations sensibles ou des discussions sur les craintes russes en matière de sécurité.
Pour M. Poutine, ces questions et ses exigences doivent faire partie d'un même "ensemble" de pourparlers.
Dans les rues de la capitale ukrainienne, la prudence était aussi de mise.
"Totalement croire (à une désescalade) ne serait ni malin, ni sage", a relevé Artem Zalouzny, un avocat de 22 ans interrogé par l'AFP sur Khrechtchatyk, l'avenue centrale de Kiev.
Lundi, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov avait signifié une première éclaircie en recommandant à M. Poutine d'approfondir le dialogue avec les Occidentaux.
Cette lueur d'espoir intervient après un ballet diplomatique intense de nombreux responsables occidentaux, en particulier le président français Emmanuel Macron qui avait initié la navette entre Moscou et Kiev au début de la semaine dernière, alors que Washington dénonçait une offensive probablement imminente sur l'Ukraine.
- "Hystérie sans fondement" -
Lundi, les Etats-Unis, jugeant toujours le risque à son maximum, ont abandonné leur ambassade à Kiev pour l'installer à Lviv, plus à l'ouest.
Des dizaines de pays ont exhorté leurs ressortissants à partir d'Ukraine, en dépit d'appels du président ukrainien Volodymyr Zelensky à garder le calme.
Le porte-parole du Kremlin a lui dénoncé une "hystérie sans fondement".
M. Scholz a rappelé ces deux derniers jours que la Russie s'exposait à des sanctions occidentales destructrices en cas d'attaque contre l'Ukraine.
La Russie a déjà annexé la Crimée en 2014 et soutient des séparatistes prorusses dans un conflit dans l'est de l'Ukraine depuis huit ans.
Le Parlement russe a demandé à M. Poutine de reconnaître l'indépendance des territoires sécessionnistes.
"Cette reconnaissance serait une claire violation des accords de Minsk", signés sous médiation franco-allemande et prévoyant à terme le retour de ces territoires sous le contrôle de Kiev, a aussitôt averti le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell dans un tweet.
France et Allemagne tentent de relancer le processus de paix par des discussions avec Moscou et Kiev.
Le président ukrainien a lui décrété le 16 février "journée de l'unité", appelant les Ukrainiens à manifester leur patriotisme face à la Russie.
burx-alf/apo/lpt
K.Thomson--BTB